À l’époque où les pavés parisiens résonnaient du claquement des sabots des chevaux, un accident était vite arrivé. Balzac, bien trop lourd pour les suspensions trop souples de son tilbury, à force d’excès sensuels, a bien souvent versé dans les fossés des chemins. Pourtant, jamais ses chutes impromptues n’ont empêché le graphomane qu’il était de noircir la page blanche.
Brantôme lui-même, contraint de garder le lit à la suite d’un accident de cheval, entreprend en 1587 ses Mémoires contenant la vie des dames illustres de son temps, document de tout premier ordre sur les mœurs féminines de la Renaissance
Dans La chute de cheval, Jérôme Garcin consacre un chapitre à la vie du peintre Géricault, cavalier forcené et écumant, que sa passion pour la race chevaline allait mené à sa perte en scellant son génie. À l’agonie, le crâne fracassé, il se peignait encore, mirant ses blessures mortelles dans le miroir de sa chambre d’hôpital. Pour l’infirmière saisie qui le découvrit dans cette étrange posture, il eut cette réponse « Je m’utilise »
mouais... ce qui est avéré, c'est que ce cher honoré, pour rejoindre en suisse mme hanska sans payer trop cher, avait pris billet pour le dessus de la diligence, à l'impériale, où on pouvait se tenir 6 hommes dos à dos, face au bord de la route, bien secoués et que sur paris lyon, qui est bien long, endormi il est tombé, et qu'il a bien rejoint mme hanska, mais les 2 jambes plâtrées
Rédigé par : Sz | 27 janvier 2006 à 22:28