« À l'heure où nous imprimons, nous ne disposons d'aucune étude génétique fiable, mais les faits sont là : si les chats ne font pas des chiens, en revanche les écrivains font des chanteurs» ( Pour lire la brève du Nouvel Obs, c’est ici)
La très jolie Sophie Auster, fille de son écrivain de père, fait l’unanimité depuis qu’elle s’est produite au New Morning, le 10 janvier dernier, devant un parterre germanopratin acquis à sa cause et finalement… conquis. L’Humanité l’encense, le forum d’Actes Sud, maison d’édition du papa, déborde de messages louangeurs. Le magazine Lire signale la sortie de « son premier disque inspiré de grands poètes français. » Pour l’avoir écoutée, la version du poème d’Apollinaire, Sous le pont Mirabeau, est de toute beauté.
Pour en savoir plus, on lira avec profit le post du blog Café mode : « Et puis elle se présente devant nous. Longue, nerveuse et pure. Incapable de cacher son trac, elle lance trois mots en français et se dépêche de commencer à chanter. Merveilleusement. Sa voix chaude et puissante fait instantanément oublier ses 18 ans. Nous nous rendons à l'évidence : cette fille est une bombe, une future star que nous avons la chance d'apercevoir encore vierge. »
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