Du coq à l'âne

Y aura-t-il des livres à Noël ?

Excellente initiative, qui me fait retrouver le chemin du clavier : La Fondation littéraire Fleur de Lys de Serge-André Guay lance un appel aux écrivains, éditeurs, distributeurs, librairies, lecteurs,… pour offrir des paniers de Noël littéraires à des familles défavorisées du Québec et de la France.

Pour plus d’informations, c’est ici

À votre bon cœur, messieurs-dames…

TOPO s'adresse à ses lecteurs...

Une fois n’est pas coutume, le Coq à l’âne « pactise » avec la presse littéraire, au lieu de s’en moquer. Parce qu’ici, on ne jure que par la diversité, et que le magazine TOPO, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vaut mieux qu’une seule page du magazine Lire ! Pour ceux qui ont suivi l’affaire, la revue dirigée par Isabelle Rabineau et Tibo Bérard traverse une passe difficile. L'administrateur judiciaire a gardé, - et ne veut pas leur rendre – les adresses mails de leurs abonnés. Ainsi, TOPO ne peut que très difficilement communiquer avec ses lecteurs.

Voici un courrier que j’ai reçu, signé d’Isabelle et de Tibo, et que je me permets de diffuser, avec leur autorisation.

LAMIA fait chanter les poètes romantiques

« Né de la rencontre d'un compositeur, Alain Rennes et d'une chanteuse, Isabelle Refouni, avec la poésie romantique anglaise du XIXème siècle - Lord Byron, John Keats, Percy Bysshe Shelley, Emily Dickinson et Charles Algernon Swinburne - LAMIA a expérimenté différentes formules orchestrales et scéniques, de l'acoustique au rock, avant de trouver son identité dans une formation "électro-rock" originale, combinant la chaleur du violon et du chant, la modernité de l'électronique, et l'énergie de sa section rythmique basse-batterie.
Porté par quelques-uns uns des plus beaux textes de la poésie romantique et la voix d'Isabelle Refouni,  LAMIA opère la fusion de deux mondes qui ne demandaient qu'à se rencontrer, moitié humain, moitié machine. »

Voilà ce qu’on peut lire sur le site de LAMIA… Lire mais aussi écouter, puisque dix titres de l’album sont consultables.

Pour les curieux, une date et un lieu où aller se délecter de ces mélopées de notre temps :

Le blog au service des jeunes écrivains

Tiraillée par la culpabilité, je consacre aujourd’hui un billet à ces jeunes écrivains qui m’envoient des courriers pour me signaler leur travail, et auxquels je ne réponds pas toujours. Ainsi, je fais d’un post deux coups. J’expie une faute et je permets aux lecteurs du Coq d’aller lire ailleurs.

J’espère n’oublier personne ! Je précise aussi que je ne sers que de relais… c’est-à-dire que je publie, à peine remaniés, leurs courriers.

Droit de réponse de Pierre Jourde

Pierre Jourde a réagi, via ma boîte mail, à deux posts qui lui étaient consacrés (ici et là). Avec son aimable autorisation je publie son courrier, auquel je répondrai en privé.

"Je vous remercie d’abord de l’intérêt soutenu que vous portez à mon travail. Etant moi-même un critique souvent rugueux, je me dois d’accepter la critique. Vous me permettrez toutefois de ne pas être d’accord avec celles que vous m’adressez sur votre site. Je vais essayer de vous en expliquer les raisons. Je crois aux vertus de la discussion. J’espère que vous voudrez bien excuser les longueurs de cette réponse.
Si je vous suis bien, vous me reprochez quatre choses :
-D’user du cliché de la « voix » dans un articulet du Magazine littéraire, si je me souviens bien.
-D’émettre ce genre de généralités creuses au lieu d’effectuer un travail de critique de fond comme celui de Gilles Philippe.
-De me « pavaner » dans les médias.
-De donner dans le « népotisme » avec Eric Naulleau, parce qu’il publie mes romans alors qu’il ne fait normalement pas de fiction française.
Je suppose, bien sûr, que vous employez ces termes en toutes connaissance de cause, puisqu’ils figurent sur un site que vous animez.

République bananière

A la suite de la parution de l’article « Pierre Assouline a de l’ambition pour son blog » (article sur lequel je reviendrai dans un prochain post), paru dans le Livres Hebdo daté du 24 juin, signé Daniel Garcia, j’ai reçu ce courrier de Noël Blandin, que je publie avec son aimable autorisation :

< Le numéro 607 du magazine Livres Hebdo, daté du 24 juin 2005, contient en page 10 un article signé de M. Daniel Garcia sur M.Pierre Assouline, mentionnant à plusieurs reprises les termes "La République des Lettres" pour désigner le blog publié par ce dernier sur le site du journal Le Monde. Ce blog a également été référencé sous ce titre sur divers annuaires.

Papier mâché

Reçu ce matin ce courrier dans ma boîte mail, que je publie avec l’aimable autorisation de son auteur, Dash… J’avoue qu’en cette période pré-estivale, j’aime assez qu’on me mâche le travail…

« Je me permets aujourd'hui de porter à votre attention ce qui me fait vibrer, moi le petit provincial déboulé à Paname: les querelles de clochers entre maison d'Editions et les délires parisiano-centristes des trashouilles-branchouilles de tous bords autour de pseudo bouquins.

Et aujourd'hui, on arrive au repassage à froid de "l'affaire Kacem", qui n'a d'affaire que le statut qu'on a bien voulu lui prêter.

Je crois qu'on tient un nouveau Beig', moins dissipé, mais tout aussi haut perché...

Bref, en lisant ce matin le Libé de lundi (Bah voui, on a pas tous votre assiduité :D) j'ai trouvé ça
http://www.liberation.fr/page.php?Article=303484
et ça m'a énormément fait rire, car j'avais déjà lu ça:
http://www.chloedelaume.net/rubrique.php3?id_rubrique=5
et ça
http://www.sitaudis.com/Excitations/mehdi-belhaj-kacem-ou-du-pi-e-tre-philosophique.php

et surtout que j'étais déjà là:
http://www.technikart.com/article.php3?id_article=824
et que mon camarade Coquillages m'avait invité et qu'on avait bien rigolé... http://dasshcoquillages.blogspot.com/2005/05/mbk-power.html

Courrier de Pierre Le Pillouër au sujet du CNL

A la suite du post intitulé Poste restante, l’écrivain Jean-Jacques Nuel avait signalé les dysfonctionnements qui, selon lui, gangrenaient l’ARALD. Avec beaucoup d’honnêteté, il disait ne pas connaître suffisamment le fonctionnement du CNL pour étendre ses observations à l’ensemble des commissions attribuant des bourses aux écrivains.

Pierre Le Pillouër, qui anime le premier site de poésie comparative, Sitaudis, et membre de la commission Poésie du CNL, m’a envoyé un courrier, que je publie avec son aimable autorisation. Merci à lui.